A l'époque de l'argentique
Depuis plus d’une cinquantaine d’année de pratique de la photographie, j’ai suivi avec attention l’évolution du matériel photographique.
Après cette Silette Agpha achetée dans les années 62, j’ai été tenté par un reflex. Les conditions financières ont orienté mon choix vers le « Praktica » de fabrication Allemagne de l’Est. j’ai ensuite été tenté par le format 6×6 et j’ai fait l’acquisition d’un « Rolleiflex » équipé d’un objectif « Planar« .
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Retour au 24X36 avec l’Olympus OM1 MD. Deux versions ont été commercialisées par la suite, le OM-1 MD (pour Motor Drive) permettant l’ajout d’un moteur d’entraînement pour la prise de vue en rafale et le OM-1n proposant plusieurs améliorations, notamment une meilleure conception du levier d’armement. À sa sortie, son format compact a été considéré comme une révolution dans la gamme des appareils reflex mono-objectif, assez volumineux par rapport aux appareils à mise au point télémétrique qui ne possèdent pas de miroir ni de pentaprisme.
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| Pays de fabrication le Japon 1991 |
L’EOS-100 surprit tout le monde par son silence innovant et par la diminution des vibrations. Bien sûr, le moteur d’autofocus intégré à l’objectif USM (Ultra Sonic Motor) y est pour beaucoup, mais Canon a aussi multiplié les améliorations techniques sur le boîtier pour en arriver là. De nombreux pignons métalliques sont remplacées par des courroies crantées en caoutchouc. Les parties habituellement sources de vibrations, comme le moteur d’armement, sont montées sur silentblocs.
Il était équipé d’un objectif 28-80 mm et d’un téléobjectif de 75-300 mm
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Passage à l'ère du numérique en 2002
En 2002 je décide de me lancer le numérique sans me séparer de CANON EOS 100 argentique. je choisi le NIKON Cooplix 775 soryi l’année précédente.
Commercialisé en septembre 2001, le 775 est un appareil de dimensions réduites : 8,7 x 6,65 x 4,4 cm. Son boîtier de forme ergonomique lui assure une bonne prise. Il possède une définition de 2 mégapixels et est équipé d’un zoom optique de 3x.
- Capteur CCD taille 1/2,7 pouce : 2,14 millions de pixels, effective : 2,01 millions de pixels
- Zoom optique : 3x, numérique : 2,5x
- Distance focale équivalence 35 mm : 38-115 mm
- Ouverture maximale de l’objectif : F/2,8-F/4,9
- Vitesse d’obturation : 1 à 1/1000 seconde
- Sensibilité : ISO 100 et 200
- Stockage : CompactFlash type I
- Définition image maxi : 1600×1200 au format JPEG
- Autres définitions : 1024×768 et 640×480
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Le numérique offre de telles possibilités qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure en octobre 2005
Le D70 est Sorti en fin d’année 2004 : c’est un reflex numérique premier prix compatible avec les optiques argentiques des boîtiers Nikon. Le message est clair : nikonistes passez au numérique sans vous ruiner. son capteur 6 mégapixels est de type CCD. Sensibilité 200 à 1600 ISO
Il est équipé d’un objectif 17-70 mm que j’ai complété à la suite d’un 28-300 mm en 2011 et d’un objectif TAMRON de 10-24 mm en 2011 également
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En janvier 2005, un nouvel appareil rentre dans la maison pour mon épouse : Le CANON EOS 200D équipé d’objectif 18-200 mm. cet appareil est plus léger que NIKON.
Suite à un incident, l’objectif est remplacé en 2023 par un 18-135 mm
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En 2010 c’est la sortie de NIKON D7000. La suite de la série D70, D80 et D90. Le nombre de pixels augmente. De 6 mégapixels on passe à 16 mégapixels. Sans faire la course aux pixels, cette définition permet de faire des agrandissements plus important mais aussi de se permettre des recadrages pouvant subir des agrandissements.
je fais l’achat en 2012. L’investissement n’est pas trop important, boitier nu, car les objectifs sont déjà acquis avec le D70 très bien revendu avec sont objectif 18-70 mm.
Sensibilité : 100 à 25600 ISO, bien plus performant que le D70
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Le matériel utilisé actuellement
Acheté en juillet 2018, ce compact vient compléter le Nikon D7000 lors des petites promenades.
Capteur de 20 mégapixels – Sensibilité ISO de 125 à 12800 – Focale de 25 à 250 mm – Zoom optique 10 fois – Zoom numérique 2 fois – Temps de pose : 1/16000 – Temps de pose maxi : 60 secondes – Viseur électronique.
Mon choix a été déterminé par la présence d’un viseur optique qui est indispensable pour la prise de vue les jours de soleil, car difficulté de se servir de l’écran.
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Acheté en novembre 2018 pour mon épouse, c’est le premier essai du « Bridge ».
Un peu déçu par les performances de cet appareil.
Avec le bridge Lumix FZ300, Panasonic entend proposer un appareil photo tout-en-un très complet plutôt destiné aux photographes experts. Outre ses nombreuses options de personnalisation, il se distingue aussi grâce à son zoom 24x à ouverture constante f/2,8
Capteur de 12 mégapixels (Faible) – sensibilité 100-6400 Iso – Focale : 25-600 mm – Temps de pose : 1/16000 – ratio Image : 4/3
Un peu déçu par cet appareil, le bouton M/A cassé après 1 an 1/2 – Molette de zoom ne fonctionne pas à tout les coup – Résolution pas très satisfaisante.
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L'aventure FUJIFILM
Le Fujifilm X-T3
Le Fujifilm X-T3 vue sous les différents angles
Les 4 ojectifs Fuji : Le 10X24 mm – Le 18X55 mm – le 55×200 mm et le 34 mm.
Dernière acquisition en janvier 2021 : Le Fujifilm X-T3 accompagné de 4 objectifs : 16-55 mm livré avec l’appareil – le 10-24 mm le 55-200 mm et un 35 mm.
Petit retour vers le l’argentique avec tous les avantages du numérique concernant la manipulation de l’appareil. Nul besoin de consulter l’écran pour faire les réglages, les trois molettes situées sur le dessus de l’appareil (Vitesse, iso, Correction d’exposition).
Loin d’être une simple évolution du X-T2, l’hybride APS-C de Fujifilm profite d’un profond remaniement. Au cœur de l’appareil, Fujifilm a placé un capteur Cmos X-Trans de quatrième génération, accompagné d’une nouvelle puce X-Processor 4. La définition grimpe à 26 Mpx produisant des fichiers de 6 240 x 4 160 px. L’enregistrement vidéo s’effectue en 4K à une cadence de 60 i/s au maximum. Le capteur dispose désormais de 2,16 Mpts dédiés à l’analyse autofocus par corrélation de phase sur toute sa surface. Sa sensibilité a également été améliorée.
Parmi les petits plus qui nous ont apporté beaucoup de plaisir à l’usage, citons également la gestion du détecteur de visée qui désactive automatiquement le viseur électronique lorsque l’écran à l’arrière est incliné. Ainsi, on peut viser avec l’appareil au niveau du ventre sans désactiver l’affichage à l’écran chaque fois qu’on s’approche du viseur. C’est astucieux et très pratique. Comme sur les autres modèles de la marque, l’écran peut s’orienter verticalement, mais également horizontalement avec un système de double charnière qui manque un peu de praticité à notre avis.
Le Fujifilm X-T5
En mars 2024, je me sépare du Fujifilm X-T3 et son objectif 18-55 mm pour faire l’acquisition du Fujifilm X-T5 argent équipé de l’objectif 16-80 mm équipé d’un stabilisateur et tropicalisé. Je conserve le grand angle 10-24 mm et le Zoom 55-200 mm
Les améliorations par rapport au X-T3 ne sont pas négligeable.
Le capteur APS-C passe de 26 à 40 millions de pixels. – L’Iso Standard descend à 125. – L’écran de 3 » passe de 1,62 Mpx à 1,84 Mpx – Le boîtier est équipé d’un stabilisateur et il est tropicalisé.
L’objectif 16-80 mm à ouverture f/4 constante. Il a la particularité d’avoir la commande d’ouverture A (automatique) directement sur la bague d’ouverture, ce qui permet de passer en manuel avec la plus simple facilité. De ce fait tous les réglages sont à porté de main sans avoir à consulter l’écran.
Voir le site : https://apprendre-la-photo.fr/fujifilm-xt5/
Voir le site Fujifilm : https://fujifilm-x.com/fr-fr/products/cameras/x-t5/